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Wednesday, August 25, 2004
Thursday, August 19, 2004
Today I have my friend Laba Laba
This is my friends site, he has a shop in Antwerp dealing in contemporary cheap decorative African Art, but he is a good African painter and has many friends in that field.
Tuesday, August 10, 2004
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I just made a new site called www.buyafricanantiques.com if you discover it drop me a line and tell me what you think about it.
David Norden
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Wednesday, August 04, 2004
L'art aborigène aux enchères
L’art aborigène aux enchères [juil. 04]
Du 26 au 27 juillet 2004, Sotheby’s orchestre à Melbourne l’une des plus retentissante vente d’art aborigène jamais organisée. Près de 600 lots seront dispersés sur deux sessions. L’art aborigène Australien fascine et attise les curiosités par les mystères qui l’entourent. L’iconographie est puisée aux sources de l’Histoire mythique, à l’époque de la création du monde, c’est-à-dire le "Temps duRêve" (Dreaming stories). A l’époque préhistorique, les aborigènes évoquaient le Temps du rêve par des peintures et gravures rupestres. Aujourd’hui, la toile a s’est substituée à la roche et les peintures synthétiquesremplacent les pigments naturels. Les messages sont les mêmes. L’offre est très large : on estime à plus de 5000 le nombre d’artistes aborigènes actifs. Même si parfois des questions portant sur l’authenticité de certaines toiles sont soulevées, ce segment attirent de plus en plus l’attention des collectionneurs, toujours plus nombreux.La croissance de ce marché est exceptionnelle : le chiffre d’affaires réalisé sur les peintures aborigènes est en 2003 de 3,7 millions de dollars,soit 6 fois plus qu’en 1997. De la hausse de l’offre et de la demande suit une forte progression des prix. Entre 2000 et juillet 2004 la cote Artprice des artistes (169) s’élève de 79%. En tête des ventes, on retrouve Rover Thomas et Emily Kngwarreye. L’œuvre aborigène la plus chère jamais échangée revient à "All that Big Rain Coming From Top Side" (1991) de Rover Thomas :cette toile a trouvé preneur à 700,000 AUD le 9 juillet 2001 chez Sotheby’s.
Lundi prochain chez Sotheby’s, celle-ci pourrait bien être détrônée par une autre technique mixte du même artiste : "Uluru", estimée 700,000-1,000,000AUD. Les chances d’un nouveau record sont d’autant plus fortes que l’Artprice Index de cet artiste affiche une hausse de 338% entre 1998 et 2003. Au delà de ces prix exceptionnels, le cœur du marché se situe dans une fourchette de 3,000 à 20,000 USD. En 2003, près des 2/3 des lots avaient été adjugés moins de 10,000 USD. En dehors de Sotheby’s, les amateurs peuvent trouver généralement de très belles ventes thématiques chez Deutscher-Menzies. Face à ce marché l’éternelle rivale Christie’s est déjà dans les starting-blocks.
PAR AMOUR POUR L'ART AFRICAIN !URL: http://fr.groups.yahoo.com/group/AntiquesAfricaines/E-mail du groupe : mailto:AntiquesAfricaines@yahoogroupes.fr
Pour consulter votre groupe en ligne, accédez à :http://fr.groups.yahoo.com/group/AntiquesAfricaines/
Du 26 au 27 juillet 2004, Sotheby’s orchestre à Melbourne l’une des plus retentissante vente d’art aborigène jamais organisée. Près de 600 lots seront dispersés sur deux sessions. L’art aborigène Australien fascine et attise les curiosités par les mystères qui l’entourent. L’iconographie est puisée aux sources de l’Histoire mythique, à l’époque de la création du monde, c’est-à-dire le "Temps duRêve" (Dreaming stories). A l’époque préhistorique, les aborigènes évoquaient le Temps du rêve par des peintures et gravures rupestres. Aujourd’hui, la toile a s’est substituée à la roche et les peintures synthétiquesremplacent les pigments naturels. Les messages sont les mêmes. L’offre est très large : on estime à plus de 5000 le nombre d’artistes aborigènes actifs. Même si parfois des questions portant sur l’authenticité de certaines toiles sont soulevées, ce segment attirent de plus en plus l’attention des collectionneurs, toujours plus nombreux.La croissance de ce marché est exceptionnelle : le chiffre d’affaires réalisé sur les peintures aborigènes est en 2003 de 3,7 millions de dollars,soit 6 fois plus qu’en 1997. De la hausse de l’offre et de la demande suit une forte progression des prix. Entre 2000 et juillet 2004 la cote Artprice des artistes (169) s’élève de 79%. En tête des ventes, on retrouve Rover Thomas et Emily Kngwarreye. L’œuvre aborigène la plus chère jamais échangée revient à "All that Big Rain Coming From Top Side" (1991) de Rover Thomas :cette toile a trouvé preneur à 700,000 AUD le 9 juillet 2001 chez Sotheby’s.
Lundi prochain chez Sotheby’s, celle-ci pourrait bien être détrônée par une autre technique mixte du même artiste : "Uluru", estimée 700,000-1,000,000AUD. Les chances d’un nouveau record sont d’autant plus fortes que l’Artprice Index de cet artiste affiche une hausse de 338% entre 1998 et 2003. Au delà de ces prix exceptionnels, le cœur du marché se situe dans une fourchette de 3,000 à 20,000 USD. En 2003, près des 2/3 des lots avaient été adjugés moins de 10,000 USD. En dehors de Sotheby’s, les amateurs peuvent trouver généralement de très belles ventes thématiques chez Deutscher-Menzies. Face à ce marché l’éternelle rivale Christie’s est déjà dans les starting-blocks.
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